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Ligue 1: Rome réussit à l’OM, toujours deuxième

L’air romain a fait du bien à l’OM: après une semaine de stage en Italie, Marseille a nettement battu Brest dimanche au Stade Vélodrome (4-1), grâce notamment à un magnifique triplé d’Amine Gouiri, et a ainsi repris et même consolidé sa deuxième place de Ligue 1.Beaucoup de candidats à la Ligue des champions ont gagné ce week-end, de Marseille à Strasbourg en passant par Lille, Lyon et Nice, et personne n’a donc vraiment fait la bonne affaire.Mais Monaco, tenu en échec au Havre, a fait la mauvaise et c’est déjà ça de pris pour l’OM et les autres. A trois journées du but, Marseille est en tous cas toujours deuxième, avec deux longueurs d’avance sur Lille, son prochain adversaire, et trois sur Monaco.Pour autant, le haut du classement est beaucoup trop serré pour dire que Marseille a un pied en Europe. Mais les hommes de Roberto De Zerbi, toujours en quête de sérénité, sont mieux là que quelques crans plus bas.Et après voir corrigé Montpellier 5-1, les quatre buts infligés dimanche à des Brestois d’abord coriaces puis résignés, ont confirmé que l’OM avait retrouvé un peu de brillant offensif.Côté marseillais, après une petite semaine de stage à Rome, c’était la soirée des retours, à commencer par celui du propriétaire Frank McCourt, déjà passé par le Vélodrome il y a quelques semaines lors de la venue de Toulouse. Mais il y a surtout eu celui, espéré mais précoce, du capitaine Leonardo Balerdi et, beaucoup plus inattendu, celui de la défense à quatre, un système abandonné il y a plusieurs mois déjà par De Zerbi.Dans un tout premier temps, ce choix n’a pas paru très convaincant, car l’OM a d’abord souffert, avec un double miracle signé Balerdi et Geronimo Rulli devant Abdallah Sima (2e).- Ovation pour Gouiri -Très vite pourtant, Marseille est passé en tête grâce à Amine Gouiri, déjà, buteur d’une jolie frappe croisée après un long et bon ballon de Luis Henrique (1-0, 8e).Incapables depuis sept matches de ne pas prendre de but, les Marseillais ont ensuite été rejoints, avec un but de Sima sur le deuxième temps d’un corner très mal défendu (1-1, 26e).La suite, qui a permis à l’OM de rentrer aux vestiaires avec deux buts d’avance, a été successivement chanceuse et magnifique. Les Marseillais sont d’abord repassés devant sur un but heureux, avec une frappe de Mason Greenwood déviée par la cuisse du capitaine Brendan Chardonnet (2-1, 37e).Puis il y a eu l’exceptionnel, avec le somptueux doublé de Gouiri qui, sur un centre de Greenwood, a enchaîné amorti poitrine et retourné pied droit pour un but qui a fait trembler le Vélodrome (3-1, 45e).Logiquement, la deuxième période a été moins enlevée. Plus tranquille et sûr de lui que ces dernières semaines, l’OM a facilement contrôlé les débats. Brest, dont la fin de saison semble désormais assez dénuée d’enjeux, n’a d’ailleurs pas insisté plus que cela.Mais les 45 dernières minutes ont tout de même été animées par le triplé de Gouiri, dont l’arrivée cet hiver a vraiment été une réussite de la direction marseillaise. Lancé dans le bon tempo et à la limite du hors-jeu par Rabiot, l’Algérien a facilement trompé Grégoire Coudert (4-1, 63e) et a eu droit à un triomphe (romain) lors de sa sortie quelques minutes plus tard.Après ces deux succès à domicile, l’OM va probablement repartir à Rome mardi. Il aura ensuite deux déplacements consécutifs, à Lille puis au Havre. S’il en ramène quelques points, l’Europe, cette fois, ne sera vraiment plus très loin.

Meurtre dans une mosquée du Gard: le meurtrier toujours en fuite, émoi jusqu’au sommet de l’Etat

Près de trois jours après le meurtre d’un jeune Malien dans la mosquée de la petite commune gardoise de La Grand-Combe, son assassin, un homme d’une vingtaine d’années “extrêmement dangereux” et soupçonné de vouloir récidiver, restait introuvable dimanche soir, alors que les réactions se multiplient jusqu’au sommet de l’Etat.”Le racisme et la haine en raison de la religion n’auront jamais leur place en France”, a ainsi assuré Emmanuel Macron, sur X: “La liberté de culte est intangible”, a insisté le chef de l’Etat, en adressant “le soutien de la Nation” à la famille de la victime et “à nos compatriotes de confession musulmane”.Dans la commune encore traumatisée, une marche blanche en souvenir de la victime, Aboubakar Cissé, un jeune Malien d’une vingtaine d’années, a rassemblée plus d’un millier de personnes dans l’après-midi, entre la mosquée Khadidja, où s’est déroulé le drame, et la mairie de cette petite commune de moins de 5.000 habitants au nord d’Alès.Parmi eux, Abdallah Zekri, recteur de la mosquée de la Paix à Nîmes, ne cachait pas son “sentiment de colère et de haine à l’égard de ceux qui ont commis ce crime” et dénonçant un climat islamophobe.”Du matin au soir, vous allumez la télévision, qu’est-ce que vous entendez, l’islam, les musulmans, les migrants, les OQTF, il n’y a que ça”, a-t-il accusé, regrettant l’absence à leurs côtés du ministre de l’Intérieur et du préfet.Pour son déplacement dans le Gard dimanche, Bruno Retailleau a opté pour la sous-préfecture d’Alès, où il a rencontré des représentants locaux de la communauté musulmane. Après “un message de compassion pour Aboubakar Cissé”, ce jeune homme mort “dans des conditions absolument ignobles”, alors qu'”il priait son Dieu”, Bruno Retailleau a assuré que “la piste d’un acte antimusulman n’est pas du tout négligée, bien au contraire”.Interrogé ensuite sur BFMTV, à Paris, le ministre a annoncé un renforcement des mesures de sécurité autour des mosquées de France, après avoir demandé dès vendredi de protéger les lieux de culte dans le Gard.- Le parquet antiterroriste “en évaluation” -Si la piste d’un acte islamophobe est celle sur laquelle les 70 enquêteurs “travaillent en priorité, (…) ce n’est pas la seule”, avait insisté, aux côtés du ministre, le procureur d’Alès, Abdelkrim Grini, évoquant “certains éléments (qui) pourraient laisser penser que ce mobile n’était peut-être pas le mobile premier (…) ou le seul mobile”.La piste de l’acte islamophobe est celle majoritairement retenue par la classe politique, à l’image du Premier ministre François Bayrou, qui a dénoncé samedi “une ignominie islamophobe”.”L’islamophobie tue. Tous ceux qui y contribuent sont coupables”, avait martelé Jean-Luc Mélenchon, le leader de La France Insoumise, sur X, dès vendredi, avant de récidiver dimanche soir, place de la République à Paris, lors d’un rassemblement en mémoire d’Aboubakar Cissé, en accusant le ministre de l’Intérieur de cultiver “un climat islamophobe”.”L’islamophobie est normalisée(…) C’est banalisé d’être raciste”, a dénoncé Marianne, une trentenaire parisienne présente parmi les centaines de personnes réunies pour cette minute de silence. Pour la Grande Mosquée de Paris, “il fait peu de doute” que le meurtrier de La Grand-Combe “a été motivé par la haine des musulmans”. Et l’institution religieuse demandait même “aux autorités compétentes de communiquer au public si la piste #terroriste est privilégiée”.Dimanche soir, le parquet national antiterroriste restait “en évaluation à ce stade”. Une réaction qui a provoqué la colère de Mourad Battikh, l’un des avocats de la famille de la victime, selon qui il ne fait “aucun doute” que ce meurtre est “une attaque de nature terroriste”: “Il est évident que le Pnat doit se saisir de cette affaire sans délai”, a-t-il plaidé sur Instagram, estimant que “la communauté musulmane doit bénéficier du même traitement que tout autre citoyen”.Les éléments officiellement communiqués sur le meurtrier restaient peu nombreux dimanche: “Olivier A.”, né à Lyon en 2004, est un homme de nationalité française, issu d’une famille bosnienne, sans emploi et sans aucun antécédent judiciaire.Une certitude pour la justice: il est “potentiellement extrêmement dangereux” et il est “primordial” de l’interpeller avant qu’il fasse de nouvelles victimes. Dans “les propos décousus” que l’homme tient dans la vidéo qu’il a réalisée juste après son meurtre, face à sa victime agonisante, il semble “manifester son intention de recommencer”, avait précisé samedi le procureur à l’AFP.Dans cette vidéo, le meurtrier se félicite de son acte et insulte la religion de sa victime: “Je l’ai fait, (…) ton Allah de merde”, répète-t-il à deux reprises.

Explosion meurtrière en Iran: le guide suprême ordonne une “enquête approfondie”

Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a ordonné dimanche une “enquête approfondie” sur les causes de l’explosion dans le plus grand port d’Iran, qui a fait au moins 40 morts et plus d’un millier de blessés.”Les responsables de la sécurité et de la justice sont tenus de mener une enquête approfondie, afin de découvrir …

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Explosion meurtrière en Iran: le guide suprême ordonne une “enquête approfondie”

Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a ordonné dimanche une “enquête approfondie” sur les causes de l’explosion dans le plus grand port d’Iran, qui a fait au moins 40 morts et plus d’un millier de blessés.”Les responsables de la sécurité et de la justice sont tenus de mener une enquête approfondie, afin de découvrir toute négligence ou intention” de causer cette explosion, a dit M. Khamenei, dans un communiqué.Le président iranien, Massoud Pezeshkian, qui avait ordonné lui aussi l’ouverture d’une enquête, s’est rendu dans l’après-midi au port, toujours en proie au feu, pour exprimer sa “gratitude” aux secouristes, selon des images diffusées par la télévision publique.La déflagration, entendue à des dizaines de kilomètres à la ronde, s’est produite samedi vers midi (08H30 GMT) sur un quai du port Shahid Rajaï, où transitent 85% des marchandises en Iran. Ce port stratégique est proche de la grande ville côtière de Bandar Abbas (sud), sur le détroit d’Ormuz, par où passe un cinquième de la production mondiale de pétrole, à un millier de kilomètres au sud de Téhéran.”Pour l’heure, 40 personnes ont perdu la vie des suites de blessures causées par l’explosion”, a indiqué à la télévision Mohammad Ashouri, le responsable de la province d’Hormozgan (sud), où se trouve le port Shahid Rajaï.Un précédent bilan du Croissant-Rouge iranien faisait état de 28 morts et plus d’un millier de blessés.- Matières chimiques -Le sinistre est probablement dû à un incendie dans une zone de stockage de matières dangereuses et chimiques, selon les Douanes. “Seule une zone du port (…) a été touchée par un incendie, et les opérations de chargement et de déchargement de marchandises se poursuivent normalement dans plusieurs autres zones”, a déclaré la ministre du Développement urbain, Farzaneh Sadegh, selon des médias officiels.Les nombreux entrepôts du port sont répartis sur une superficie de 2.400 hectares.  Le ministère de la Défense a affirmé qu'”il n’y avait et il n’y a à l’heure actuelle aucune cargaison (…) pour le carburant militaire ou pour un usage militaire dans la zone de l’incendie”.Le New York Times, citant une source anonyme proche des Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de la République islamique d’Iran, avait auparavant affirmé que l’explosion avait été provoquée par du perchlorate de sodium, une substance entrant dans la composition de carburants solides pour missiles.Dimanche en début de soirée, la télévision d’Etat a diffusé des images de l’incendie toujours en cours dans le port, où seuls les médias iraniens étaient autorisés à prendre des images.Des avions et des hélicoptères sont mobilisés pour lutter contre les flammes, selon des images diffusées plus tôt par la télévision. La Russie a annoncé l’envoi de deux avions pour aider à lutter contre le feu, selon le ministère russe des Situations d’urgence.- Deuil national -Les autorités ont ordonné la fermeture dimanche -jour ouvré en Iran- des bureaux et établissements scolaires à Bandar Abbas, ville d’environ 650.000 habitants, alors que la fumée continue à se propager dans les environs. Le ministère de la Santé a appelé les habitants à rester chez eux “jusqu’à nouvel ordre”. Un appel aux dons de sang a été lancé pour les blessés.Les autorités ont décrété un jour de deuil national lundi, et trois jours à partir de dimanche dans la province d’Hormozgan, dont Bandar Abbas est le chef-lieu. La ville abrite la principale base de la marine iranienne. La déflagration a complètement soufflé une rangée de semi-remorques, selon des images sur les réseaux sociaux dont l’AFP n’a pas pu vérifier l’authenticité. Sur d’autres images prises d’un hélicoptère, une épaisse fumée noire semble indiquer plusieurs départs de feu.L’ONU et de nombreux pays, dont l’Arabie saoudite, le Pakistan, l’Inde, la Turquie et la Russie, ont présenté leurs condoléances à l’Iran. Le Hezbollah libanais a exprimé sa solidarité pour ce “tragique accident”.Dans la première réaction d’un grand pays européen, l’ambassade d’Allemagne à Téhéran a publié ce message sur Instagram: “Bandar Abbas, nous sommes en deuil avec vous”.L’explosion a coïncidé avec la tenue à Oman de pourparlers cruciaux sur le programme nucléaire de Téhéran entre l’Iran et les Etats-Unis, ennemis depuis quatre décennies.Israël, qui soupçonne l’Iran de vouloir de doter de l’arme nucléaire comme d’autres pays occidentaux, se livre depuis des années à une guerre de l’ombre contre son ennemi juré.Selon le Washington Post, Israël avait lancé en 2020 une cyberattaque contre le port de Shahid Rajaï. La thèse d’un sabotage n’a pour l’heure pas été évoquée par Téhéran pour l’explosion de samedi.

Explosion meurtrière en Iran: le guide suprême ordonne une “enquête approfondie”

Le guide suprême iranien, l’ayatollah Ali Khamenei, a ordonné dimanche une “enquête approfondie” sur les causes de l’explosion dans le plus grand port d’Iran, qui a fait au moins 40 morts et plus d’un millier de blessés.”Les responsables de la sécurité et de la justice sont tenus de mener une enquête approfondie, afin de découvrir toute négligence ou intention” de causer cette explosion, a dit M. Khamenei, dans un communiqué.Le président iranien, Massoud Pezeshkian, qui avait ordonné lui aussi l’ouverture d’une enquête, s’est rendu dans l’après-midi au port, toujours en proie au feu, pour exprimer sa “gratitude” aux secouristes, selon des images diffusées par la télévision publique.La déflagration, entendue à des dizaines de kilomètres à la ronde, s’est produite samedi vers midi (08H30 GMT) sur un quai du port Shahid Rajaï, où transitent 85% des marchandises en Iran. Ce port stratégique est proche de la grande ville côtière de Bandar Abbas (sud), sur le détroit d’Ormuz, par où passe un cinquième de la production mondiale de pétrole, à un millier de kilomètres au sud de Téhéran.”Pour l’heure, 40 personnes ont perdu la vie des suites de blessures causées par l’explosion”, a indiqué à la télévision Mohammad Ashouri, le responsable de la province d’Hormozgan (sud), où se trouve le port Shahid Rajaï.Un précédent bilan du Croissant-Rouge iranien faisait état de 28 morts et plus d’un millier de blessés.- Matières chimiques -Le sinistre est probablement dû à un incendie dans une zone de stockage de matières dangereuses et chimiques, selon les Douanes. “Seule une zone du port (…) a été touchée par un incendie, et les opérations de chargement et de déchargement de marchandises se poursuivent normalement dans plusieurs autres zones”, a déclaré la ministre du Développement urbain, Farzaneh Sadegh, selon des médias officiels.Les nombreux entrepôts du port sont répartis sur une superficie de 2.400 hectares.  Le ministère de la Défense a affirmé qu'”il n’y avait et il n’y a à l’heure actuelle aucune cargaison (…) pour le carburant militaire ou pour un usage militaire dans la zone de l’incendie”.Le New York Times, citant une source anonyme proche des Gardiens de la Révolution, l’armée idéologique de la République islamique d’Iran, avait auparavant affirmé que l’explosion avait été provoquée par du perchlorate de sodium, une substance entrant dans la composition de carburants solides pour missiles.Dimanche en début de soirée, la télévision d’Etat a diffusé des images de l’incendie toujours en cours dans le port, où seuls les médias iraniens étaient autorisés à prendre des images.Des avions et des hélicoptères sont mobilisés pour lutter contre les flammes, selon des images diffusées plus tôt par la télévision. La Russie a annoncé l’envoi de deux avions pour aider à lutter contre le feu, selon le ministère russe des Situations d’urgence.- Deuil national -Les autorités ont ordonné la fermeture dimanche -jour ouvré en Iran- des bureaux et établissements scolaires à Bandar Abbas, ville d’environ 650.000 habitants, alors que la fumée continue à se propager dans les environs. Le ministère de la Santé a appelé les habitants à rester chez eux “jusqu’à nouvel ordre”. Un appel aux dons de sang a été lancé pour les blessés.Les autorités ont décrété un jour de deuil national lundi, et trois jours à partir de dimanche dans la province d’Hormozgan, dont Bandar Abbas est le chef-lieu. La ville abrite la principale base de la marine iranienne. La déflagration a complètement soufflé une rangée de semi-remorques, selon des images sur les réseaux sociaux dont l’AFP n’a pas pu vérifier l’authenticité. Sur d’autres images prises d’un hélicoptère, une épaisse fumée noire semble indiquer plusieurs départs de feu.L’ONU et de nombreux pays, dont l’Arabie saoudite, le Pakistan, l’Inde, la Turquie et la Russie, ont présenté leurs condoléances à l’Iran. Le Hezbollah libanais a exprimé sa solidarité pour ce “tragique accident”.Dans la première réaction d’un grand pays européen, l’ambassade d’Allemagne à Téhéran a publié ce message sur Instagram: “Bandar Abbas, nous sommes en deuil avec vous”.L’explosion a coïncidé avec la tenue à Oman de pourparlers cruciaux sur le programme nucléaire de Téhéran entre l’Iran et les Etats-Unis, ennemis depuis quatre décennies.Israël, qui soupçonne l’Iran de vouloir de doter de l’arme nucléaire comme d’autres pays occidentaux, se livre depuis des années à une guerre de l’ombre contre son ennemi juré.Selon le Washington Post, Israël avait lancé en 2020 une cyberattaque contre le port de Shahid Rajaï. La thèse d’un sabotage n’a pour l’heure pas été évoquée par Téhéran pour l’explosion de samedi.

Une attaque à la voiture-bélier fait 11 morts au Canada

Un homme a tué 11 personnes et fait “des dizaines” de blessés samedi soir en fonçant avec sa voiture dans la foule d’un festival de la communauté philippine de Vancouver, dans l’ouest du Canada, selon les autorités, qui excluent un “acte terroriste” en pleine campagne électorale.Le suspect, 30 ans, qui a été arrêté, a “un …

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