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Premières heures de semi-liberté pour Kohler et Paris à l’ambassade de France à Téhéran

Cécile Kohler et Jacques Paris, les deux Français sortis de prison en Iran vivent mercredi leurs premières heures de semi-liberté à l’ambassade de France, attendant de pouvoir quitter le pays à une date inconnue, que l’Iran semble vouloir lier au sort d’une Iranienne poursuivie en France.”Je les ai trouvés très heureux, très soulagés tous les …

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Harcelée sexuellement, la présidente du Mexique riposte

La présidente mexicaine Claudia Sheinbaum, harcelée sexuellement mardi en pleine rue à Mexico, a décidé de porter plainte contre son agresseur et de remettre à plat la législation à l’échelle du pays.Mme Sheinbaum a expliqué avoir porté plainte car, après l’avoir harcelée, l’homme avait continué à s’en prendre à d’autres femmes avant d’être arrêté quelques …

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Soudan: 40 morts au Kordofan, les combats s’intensifient dans la région

Une attaque dans la ville stratégique d’El-Obeid, capitale régionale du Kordofan-Nord au Soudan, a fait au moins 40 morts, a annoncé mercredi l’ONU, pendant que les violences continuent dans la région voisine du Darfour.L’attaque, qui a visé un enterrement, s’est produite mardi sur la ville assiégée par les paramilitaires des Forces de Soutien Rapide (FSR), alors que les combats pour le contrôle de cette région du centre du Soudan se sont intensifiés ces derniers jours.Le conflit entre l’armée du général Abdel Fattah al-Burhane et les FSR de Mohammed Daglo a éclaté en avril 2023 et se concentre désormais au Kordofan, région stratégique car située entre la capitale Khartoum, contrôlée par les militaires, et le Darfour, aux mains des paramilitaires.”Des sources locales rapportent qu’au moins 40 civils ont été tués et des dizaines de blessés hier dans une attaque sur un rassemblement lors de funérailles” à El-Obeid, a déclaré le Bureau des affaires humanitaires de l’ONU (Ocha). Les violences continuent aussi au Darfour, selon l’Ocha, qui fait état de “multiples frappes aériennes et de drones” survenues dimanche, sans pouvoir donner de bilan du fait de l’accès limité au terrain et des difficultés de communications.- “Viols collectifs” -Depuis la chute aux mains des paramilitaires le 26 octobre de la ville d’El-Facher, dernier bastion de l’armée au Darfour, l’ONU a fait état de massacres, viols, pillages et déplacements massifs de population. “Nous nous réveillons en tremblant de peur, les images du massacre nous hantent”, a témoigné Amira, mère de quatre enfants réfugiée à Tawila, une ville à environ 70 kilomètres d’El-Facher, où s’entassent les déplacés sous des bouts de tissus transformés en tentes ou en auvent.  “C’étaient des viols collectifs. Des viols collectifs en public, devant tout le monde, et personne ne pouvait les arrêter”, a-t-elle raconté.Des images satellite analysées par le Humanitarian Research Lab (HRL) de l’université américaine de Yale, qui documente la situation à El-Facher depuis le début du siège il y a 18 mois, ont permis de mettre en évidence des atrocités sur place. Ces rapports ont déclenché l'”indignation générale”, a déclaré à l’AFP Nathaniel Raymond, directeur du HRL qui croise les vidéos postées par des paramilitaires “en train de tuer des gens à un volume record” avec les images satellites afin de géolocaliser les exactions.Le patron de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS), Tedros Adhanom Ghebreyesus, s’est indigné des “attaques continues visant le système de santé”, affirmant que quatre personnes, dont des enfants, avaient été tuées à l’hôpital pédiatrique de la région de Kernoi, au Darfour, près de la frontière du Tchad.- Pourparlers ou combats ? -L’émissaire américain pour l’Afrique, Massad Boulos, s’est efforcé ces derniers jours, lors d’un déplacement au Caire, de finaliser une proposition de trêve humanitaire formulée mi-septembre sous son égide par un groupe de médiateurs incluant aussi l’Egypte, l’Arabie Saoudite et les Emirats arabes unis. Ce groupe de médiation, dit du Quad, travaille sur un plan global de paix pour le Soudan, mais ses dernières propositions sont restées lettre morte. Le secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres, avait pourtant exhorté mardi les belligérants à “venir à la table des négociations” et “mettre fin à ce cauchemar de violence”.Mais après avoir étudié la proposition de cessez-le-feu, les autorités pro-armée ont affirmé que la guerre allait continuer.”Les préparatifs pour la bataille du peuple soudanais se poursuivent”, a déclaré le ministre de la Défense, Hassan Kabroun. Le Conseil de souveraineté présidé par le chef de l’armée, le général al-Burhane, a néanmoins présenté un plan pour “faciliter l’accès à l’aide humanitaire” et “la restauration de la sécurité et de la paix dans toutes les régions du Soudan”, selon le compte-rendu du ministre.- “Malnutrition sévère” -“La situation sur le terrain est très compliquée”, a reconnu la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt. Plus de 71.000 civils ont fui El-Facher depuis sa chute et quelque 12.000 arrivées ont été enregistrées à Tawila, selon l’ONU.La guerre entre l’armée et les FSR a déjà fait des dizaines de milliers de morts et près de 12 millions de déplacés, selon l’ONU. La situation des populations déplacées reste critique, a averti l’Unicef en soulignant que 14,6% des enfants de moins de cinq ans souffraient de malnutrition sévère.

Vifs débats autour des droits de douane de Trump à la Cour suprême

Des juges de la Cour suprême ont mis en doute mercredi la légalité des droits de douane mis en place par le président Donald Trump dans une affaire susceptible d’ébranler un pilier de sa politique économique et diplomatique.L’audience se tient tout juste un an après l’élection qui a permis au républicain de retrouver la Maison Blanche, d’où il a lancé une offensive protectionniste sans précédent, à coups de droits de douane.Ces taxes sur les produits importés génèrent des milliards de dollars de recettes et ont permis d’arracher aux partenaires des Etats-Unis des promesses d’investissements et des conditions plus favorables pour les exportateurs américains.Le gouvernement ne veut surtout pas voir cet édifice s’effondrer et presse les neuf juges de la Cour suprême – six conservateurs et trois progressistes – de les maintenir.La décision de la Cour peut ne pas être rendue avant plusieurs mois, ou à l’inverse être rendue assez rapidement.Au nom de l’exécutif, le conseiller juridique John Sauer a déroulé ses arguments à toute allure.Il a notamment soutenu qu’annuler les droits de douane “nous exposerait à des représailles commerciales impitoyables” de la part des autres pays et “ferait basculer les États-Unis de la puissance à l’échec, avec des conséquences catastrophiques pour l’économie et la sécurité nationale”.Plusieurs juges ont fait part de leur scepticisme, notant que la loi d’urgence (IEEPA) invoquée par le gouvernement ne mentionne pas le pouvoir d’imposer des droits de douane, seulement celui de “réguler les importations et exportations”. “La taxation relève du pouvoir législatif (…) les droits de douane sont des taxes”, a ainsi déclaré la juge progressiste Sonia Sotomayor.Le texte IEEPA “est utilisé pour imposer des droits de douane quel que soit le produit, le pays d’origine, en choisissant le montant et la durée”, a glissé le juge conservateur John Roberts, constatant que cela semblait conférer une “autorité majeure” au président.Avant que le dossier n’arrive entre les mains de la Cour suprême, plusieurs juridictions fédérales ont déclaré illégaux les droits de douane concernés – distincts de ceux frappant des secteurs précis, comme l’automobile ou l’acier. Les surtaxes sont néanmoins restées en vigueur en attendant que la plus haute juridiction du pays tranche.- Le gouvernement fait front -Donald Trump a affirmé mardi que le maintien de ces droits de douane était une “question DE VIE OU DE MORT pour notre pays”.”Sinon, nous serons quasiment sans défense contre les autres pays qui profitent de nous depuis des années”, a-t-il affirmé sur son réseau Truth Social.Il a dépêché des responsables de premier plan dans la salle d’audience.Le ministre des Finances Scott Bessent et le représentant au commerce (rattaché à la Maison Blanche) Jamieson Greer devaient ainsi être présents. Donald Trump décrit depuis des mois les droits de douane – “un des plus beaux mots du dictionnaire” selon lui – comme un couteau suisse.Il se targue de pouvoir ainsi réindustrialiser le pays, réduire son déficit commercial chronique, négocier en position de force avec les autres pays, mais aussi – en imposant des taxes contre le Mexique, le Canada et la Chine – juguler la crise du fentanyl, un puissant opiacé qui tue par overdose des dizaines de milliers d’Américains chaque année.Le président républicain a invoqué la loi d’urgence économique IEEPA de 1977 pour décréter plusieurs salves de droits de douane. Il les a ensuite fait évoluer au fil des négociations ou brouilles avec les autres pays.Des entrepreneurs de taille modeste et des Etats démocrates ont porté le dossier devant la justice, estimant que le président ne pouvait pas empiéter ainsi sur les prérogatives du Congrès pour imposer des taxes qui affectent la vie des entreprises comme des consommateurs américains. “Ces dernières années, la Cour a été réticente à infirmer des décisions présidentielles de cette ampleur”, soulignent les analystes d’ING dans une note mercredi.Ils considèrent toutefois que le sort des droits de douane est difficile à prédire car leur maintien “modifierait l’équilibre des pouvoirs entre le Congrès et le président, renforçant encore davantage l’exécutif”.

Premières heures de semi-liberté pour Kohler et Paris à l’ambassade de France à Téhéran

Cécile Kohler et Jacques Paris, les deux Français sortis de prison en Iran vivent mercredi leurs premières heures de semi-liberté à l’ambassade de France, attendant de pouvoir quitter le pays à une date inconnue, que l’Iran semble vouloir lier au sort d’une Iranienne poursuivie en France.”Je les ai trouvés très heureux, très soulagés tous les deux par cette libération”, a raconté mercredi matin sur la radio France Inter l’ambassadeur de France à Téhéran Pierre Cochard, qui est allé les chercher mardi à la sortie de la prison d’Evine, de sinistre réputation.Le président français Emmanuel Macron s’est entretenu avec eux par visioconférence. “Ils l’ont remercié pour son engagement” afin d’obtenir leur libération, a aussi déclaré Pierre Cochard sur la radio RTL.Emanuel Macron a aussi parlé à son homologue iranien Massoud Pezeshkian, demandant la “libération pleine et entière”, “le plus rapidement possible”, de Cécile Kohler et Jacques Paris.A Soultz (Haut-Rhin, est de la France) où a grandi Cécile Kohler, dont le portrait orne la façade de la mairie, les habitants racontaient leur soulagement. “On est impatients qu’elle revienne, on espère que l’Iran ne va pas la retenir”, confiait l’un d’eux, Mathieu Taquard.Mardi soir, les parents ont pu parler par téléphone à leur fille: “Elle disait qu’elle était en forme, et qu’elle avait hâte de revenir”, a résumé à l’AFP le maire de Soultz, Marcello Rotolo.L’ambassadeur a donné quelques éléments sur le déroulé de leur libération.”On s’est rendus à la prison d’Evine, qui est au nord de Téhéran. L’ambassade se trouve plutôt au centre, donc il y a un trajet important. On s’est présentés, il y avait plusieurs portes à franchir, une barrière. Cela a pris un peu de temps, en coordination avec les autorités iraniennes”, a-t-il expliqué. “Les grands portes de la prison d’Evine se sont ouvertes, et on a pu croiser le regard de Cécile et Jacques”, qui “avaient été informés à la dernière minute” de leur sortie. “C’est évidemment un moment qu’on n’oublie pas”, a-t-il dit. “Les premiers mots, c’étaient des larmes, des sourires mêlés de larmes. On est restés quelques instants ensemble et puis ensuite on est montés dans la voiture” pour gagner l’abri de l’ambassade, où ils sont protégés par la Convention de Vienne sur les relations diplomatiques, en espérant pouvoir quitter rapidement l’Iran.- Iranienne à l’ambassade -Les autorités iraniennes, qui les accusent d’espionnage, considèrent qu’ils sont en “libération conditionnelle”, “libérés sous caution” et “placés sous surveillance jusqu’à la prochaine étape judiciaire”.”Nous n’allons ménager aucun effort pour obtenir leur retour en France dans les meilleurs délais”, a promis le ministre des Affaires étrangères Jean-Noël Barrot.Professeure de lettres de 41 ans, et enseignant retraité de 72 ans, Cécile Kohler et Jacques Paris ont été arrêtés le 7 mai 2022, au dernier jour d’un voyage touristique en Iran. Considérés comme des “otages d’Etat” par la France, qui à l’instar d’autres pays occidentaux accuse Téhéran de capturer des étrangers sur son sol pour négocier ensuite leur libération, ils étaient les deux derniers Français détenus sur le sol iranien.Lourdement sanctionné par de nombreux membres de la communauté internationale, notamment pour ses activités nucléaires, l’Iran détiendrait selon des sources diplomatiques au moins une vingtaine d’Occidentaux qu’il pourrait utiliser comme levier pour obtenir la libération de certains de ses ressortissants à l’étranger ou obtenir des gages politiques.Dans le cas de Cécile Kohler et Jacques Paris, Téhéran avait rendu publique en septembre la possibilité d’un accord de libération en échange de Mahdieh Esfandiari, une Iranienne arrêtée en France en février, accusée d’avoir fait la promotion du terrorisme sur les réseaux sociaux.Téhéran semble afficher sa volonté de mettre en parallèle les deux dossiers, le chef de la diplomatie iranienne Abbas Araghchi annonçant mercredi matin que Mme Esfandiari, sous contrôle judiciaire depuis octobre dans l’attente de son procès en janvier, se trouvait désormais à l’ambassade d’Iran et “nous espérons qu’elle rentrera quand son procès sera achevé”.Les autorités françaises n’ont pas commenté cette annonce qui pourrait avoir des conséquences sur la date à laquelle les deux Français pourront quitter l’Iran.L’élargissement de Cécile Kohler et Jacques Paris pourrait ouvrir la voie à un apaisement des relations entre l’Iran et la France. “Lorsqu’ils seront sur le territoire français, effectivement, cela ouvrira une possibilité de renouer des relations normales avec ce pays”, a estimé M. Cochard.

Aux Etats-Unis, la paralysie budgétaire bat un record de longévité

Les Etats-Unis sont entrés mercredi dans leur 36e jour de paralysie budgétaire, battant ainsi le record du plus long “shutdown” de l’histoire du pays, au moment où les conséquences néfastes pour des millions d’Américains s’étendent de jour en jour.Depuis le 1er octobre, républicains et démocrates sont incapables de s’entendre pour adopter un nouveau budget et à minuit heure de Washington, dans la nuit de mardi à mercredi, le “shutdown” a dépassé la précédente marque de 35 jours, établie en 2019 lors du premier mandat de Donald Trump.”Je vais être honnête avec vous, je pense qu’aucun d’entre nous ne s’attendait à ce que cela traîne autant en longueur”, avait confessé plus tôt mardi le président républicain de la Chambre des représentants, Mike Johnson.Coïncidence du calendrier, ce record est survenu peu après l’annonce des résultats de plusieurs élections clés, où les démocrates ont signé de larges victoires.La Virginie, avec Abigail Spanberger, et le New Jersey, avec Mikie Sherrill, ont notamment élu des candidates démocrates comme nouvelles gouverneures tandis que New York a choisi le progressiste Zohran Mamdani pour maire.Les Californiens ont eux approuvé un texte visant à redécouper leur carte électorale, en réponse à un mouvement similaire des républicains au Texas.Autant de scrutins servant de baromètre pour les neuf premiers mois du second mandat de Donald Trump.- “Kamikazes” -Pour expliquer ces revers, le président a cependant pointé du doigt sur sa plateforme Truth Social deux raisons: “Trump n’était pas sur les bulletins de vote” et “la paralysie budgétaire”.Dans l’autre camp, l’heure était aux réjouissances.”Les démocrates fument Donald Trump et les républicains extrémistes à travers le pays”, s’est gaussé sur X le chef de la minorité à la Chambre, Hakeem Jeffries.L’opposition espère désormais pouvoir se servir de ces résultats électoraux comme levier pour faire bouger les lignes de la paralysie budgétaire.Mais pour Donald Trump, “les démocrates radicaux au Sénat n’ont montré aucun intérêt” à mettre fin au blocage.”Je pense que ces gens sont des kamikazes, ils vont démolir le pays”, a lancé mercredi le président républicain, ne disant pas s’attendre à une fin rapide du “shutdown”.En attendant, les effets se font de plus en plus sentir pour les Américains.Des centaines de milliers de fonctionnaires fédéraux ont été mis au chômage technique, avec un salaire différé, et des centaines de milliers d’autres sont forcés de continuer à travailler, sans paie non plus jusqu’à la fin de la crise. Les aides sociales sont également fortement perturbées. Donald Trump a juré mardi que puisque le principal programme d’aide alimentaire était à court de fonds, le versement de cette assistance dont bénéficient 42 millions d’Américains serait gelé tant que les “démocrates de la gauche radicale” n’auront pas voté la fin du “shutdown”. – “Position intenable” -La justice fédérale a pourtant ordonné à l’administration de maintenir cette aide et la porte-parole de la Maison Blanche, Karoline Leavitt, a assuré mardi que le gouvernement se conformerait aux décisions judiciaires.”Les bénéficiaires de l’aide SNAP doivent comprendre qu’il faudra du temps pour recevoir cet argent, parce que les démocrates ont mis l’administration dans une position intenable”, a-t-elle ajouté devant la presse.Dans les aéroports, l’enlisement se fait aussi sentir avec des pénuries de contrôleurs aériens, entraînant retards et annulations de vols.Et si la paralysie budgétaire se prolonge au-delà de cette semaine, l’espace aérien américain pourrait être partiellement fermé, a mis en garde mardi le ministre des Transports, Sean Duffy.”Vous verrez un chaos généralisé”, a-t-il déclaré, mettant la pression sur l’opposition pour lever le blocage.Au Congrès, les positions des deux camps ne bougent pas: les républicains proposent une prolongation du budget actuel, avec les mêmes niveaux de dépenses, et les démocrates réclament une prolongation de subventions pour des programmes d’assurance santé à destination de ménages à bas revenus.En raison des règles en vigueur au Sénat, plusieurs voix démocrates sont nécessaires pour adopter un budget même si les républicains y sont majoritaires.Mais Donald Trump rejette toute négociation avec l’opposition sur la santé sans “réouverture” de l’Etat fédéral comme préalable.

La discrétion, gage de survie des postes de commandement dans la guerre de haute intensité

Se déplacer fréquemment, se camoufler et émettre le moins d’ondes possibles: cibles privilégiées de l’ennemi dans la guerre en Ukraine, les postes de commandement adaptent leurs modes de fonctionnement pour coordonner l’action militaire tout en évitant la destruction.En Roumanie, au pied des crêtes enneigées des Carpates, quatre grandes tentes recouvertes de filets de camouflage ont …

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