Wall Street ouvre en baisse, après de nouvelles menaces de Trump sur les droits de douane

La Bourse de New York a ouvert en baisse jeudi, après que Donald Trump a annoncé vouloir imposer des décisions unilatérales aux partenaires commerciaux des États-Unis, les investisseurs digérant dans le même temps de nouveaux indicateurs économiques.Dans les premiers échanges, le Dow Jones perdait 0,39%, l’indice Nasdaq reculait de 0,19% et l’indice élargi S&P 500 lâchait 0,20%.

Ukraine: nouvel échange de prisonniers de guerre entre Kiev et Moscou

La Russie et l’Ukraine ont procédé jeudi à un nouvel échange de prisonniers de guerre concernant les militaires grièvement blessés ou malades, seul résultat des négociations entre les deux belligérants et après plusieurs nuits de frappes russes.A ce stade, ni Kiev ni Moscou n’ont précisé le nombre de prisonniers qui avaient été échangés pour cette troisième phase d’un accord conclu lors de pourparlers directs à Istanbul début juin. L’échange de prisonniers et de corps de soldats tués étaient les seuls résultats concrets de cette rencontre.”Aujourd’hui, des soldats des forces armées, de la garde nationale et des gardes-frontières sont de retour à la maison”, s’est félicité le président ukrainien Volodymyr Zelensky sur Telegram.M. Zelensky, dont le pays se bat depuis trois ans contre l’invasion russe, a publié une photo de ces soldats ukrainiens, enveloppés dans des drapeaux nationaux, accueillis à leur arrivée en Ukraine.Il a par ailleurs dit lors d’une conférence de presse espérer pouvoir échanger avec Donald Trump en marge du sommet du G7 au Canada, pour le convaincre de mettre en place de nouvelles sanctions contre la Russie”Un groupe de militaires russes a été renvoyé depuis le territoire contrôlé par le régime de Kiev”, a de son côté indiqué le ministère russe de la Défense, qui a confirmé l’échange.Il a publié dans la foulée une brève vidéo montrant les soldats russes libérés, drapeau russe sur le dos, certains appelant leurs proches.- “Celui-là est vivant” -Côté ukrainien, comme lors de chaque échange, les prisonniers libérés ont été assaillis à leur arrivée par des familles de soldats disparus tentant, les larmes aux yeux, d’obtenir des nouvelles de leurs proches, a constaté un journaliste de l’AFP.Les militaires blessés sont arrivés dans des ambulances, puis certains, sans jambes, emmenés sur des chaises. L’un d’eux a regardé les portraits de disparus brandis par des proches : “Celui-là est vivant”, a-t-il dit lorsque son regard s’est posé sur l’un d’entre eux.Selon le commissaire ukrainien aux droits humains, Dmytro Loubinets, les soldats ukrainiens libérés jeudi étaient “détenus depuis les premiers jours” de l’invasion russe. Ils sont âgés de 22 à 59 ans.Les échanges de prisonniers et le rapatriement de corps de soldats tués sont les rares domaines dans lesquels Kiev et Moscou coopèrent malgré la guerre.Les précédents échanges de prisonniers décidés à Istanbul avaient eu lieu lundi et mardi. Et mercredi, la Russie a remis à l’Ukraine 1.212 corps de soldats ukrainiens, récupérant de son côté 27 dépouilles de militaires russes.- “Pression” -Ces échanges se déroulent alors même que les combats se poursuivent sur le front, les forces russes poussant notamment dans la région de Soumy (nord), où elles se trouvent à une vingtaine de kilomètres de la capitale régionale.L’armée russe a aussi mené ces derniers jours plusieurs séries de frappes nocturnes d’ampleur sur l’Ukraine, y compris sur la capitale, Kiev, le grand port d’Odessa ou la deuxième ville du pays, Kharkiv.Dans la nuit de mercredi à jeudi, 14 personnes ont été blessées à Kharkiv (nord-est) dans de nouvelles frappes de drones russes qui ont provoqué des incendies. La nuit précédente, trois personnes y avaient été tuées et une soixantaine blessées.En Russie, un enfant de deux ans a été tué jeudi par une attaque de drone ukrainien dans la région frontalière de Belgorod, a annoncé sur Telegram son gouverneur, Viatcheslav Gladkov.Les négociations en vue d’un cessez-le-feu sont dans l’impasse, Moscou s’y refusant tant que ses demandes maximalistes — dont la cession de quatre régions ukrainiennes et le renoncement de Kiev à rejoindre l’Otan — ne sont pas remplies.Malgré cela, le chef de la diplomatie ukrainienne, Andriï Sybiga, a assuré que Kiev souhaitait mettre fin à la guerre “cette année”, à condition que les Occidentaux renforcent leur “pression économique” et “militaire” sur Moscou.”La diplomatie de l’apaisement ne fonctionne pas avec la Russie”, a-t-il martelé, prônant plutôt “la diplomatie de la pression”.

Nucléaire: l’Iran défie les Etats-Unis avant des pourparlers prévus dimanche

L’Iran a annoncé coup sur coup jeudi la prochaine construction d’un nouveau site d’enrichissement et une augmentation “significative” de sa production d’uranium enrichi, exacerbant les tensions sur son programme nucléaire avant des pourparlers avec les Etats-Unis prévus dimanche.Dans le même temps, des médias américains, dont le New York Times et NBC News, ont rapporté qu’Israël, proche allié des Etats-Unis, semblait préparer une attaque imminente contre l’Iran, son ennemi juré.Les annonces iraniennes sont intervenues après l’adoption par le Conseil des gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) d’une résolution condamnant l’Iran pour “non-respect” de ses obligations nucléaires.L’enrichissement d’uranium est la principale pierre d’achoppement dans les discussions irano-américaines, menées via une médiation d’Oman et visant à encadrer le programme nucléaire iranien en échange d’une levée des lourdes sanctions imposées à l’Iran. L’Iran est le seul Etat non doté d’armes nucléaires à enrichir de l’uranium au niveau élevé de 60%, selon l’AIEA. Pour fabriquer une bombe atomique, l’enrichissement doit être poussé jusqu’à 90%.Les Occidentaux et Israël, considéré par des experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient, accusent l’Iran de chercher à se doter de l’arme atomique. Téhéran dément en défendant un droit au nucléaire à des fins civiles. “Les ordres nécessaires ont été donnés par le chef de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA) pour lancer un nouveau centre d’enrichissement dans un endroit sécurisé”, ont indiqué les Affaires étrangères iraniennes et l’OIEA.”Nous remplaçons toutes (les) machines de première génération par des machines avancées de sixième génération” à l’usine d’enrichissement de Fordo, au sud de Téhéran, a déclaré Behrouz Kamalvandi, porte-parole de l’OIEA. Cela signifie selon lui que la production “de matière enrichie augmentera de manière significative”.Plus tard, le chef de l’OIEA, Mohammad Eslami, a jugé “illégale” la résolution de l’AIEA, l’imputant à “l’influence” israélienne.M. Eslami a souligné que son pays avait respecté ses engagements envers l’AIEA, mais qu’il s’était affranchi de certaines obligations liées à l’accord nucléaire conclu avec les puissances mondiales en 2015, après le retrait unilatéral américain de ce pacte en 2018.”Ils ne peuvent pas s’attendre à ce que nous les respections sans qu’ils (les pays occidentaux) honorent leurs engagements”, a-t-il déclaré à la télévision d’Etat.Selon lui, l’enrichissement sur le nouveau site débutera “dès l’installation des machines”.L’accord de 2015 fixait la limite de l’enrichissement à 3,67%.- Menaces d’attaques -Israël a aussitôt appelé la communauté internationale à “une réponse décisive” contre l’Iran, dont les actes constituent selon lui “une menace imminente pour la sécurité et la stabilité”internationales.L’Etat israélien, qui considère le programme nucléaire iranien comme une menace existentielle, a maintes fois menacé d’attaquer les sites nucléaires iraniens.L’Iran a averti qu’il répondrait à toute frappe israélienne en ciblant les “installations nucléaires secrètes” d’Israël.Mercredi, il a aussi menacé de frapper les bases militaires américaines au Moyen-Orient en cas de conflit consécutif à un éventuel échec des négociations avec Washington.Dans la foulée, un responsable américain a déclaré que les effectifs de l’ambassade des Etats-Unis à Bagdad avaient été réduits pour raisons de sécurité. Et les Etats-Unis ont décidé de restreindre les déplacements en Israël des employés du gouvernement américain et de leurs familles.A Vienne, la résolution adoptée par l’AIEA appelle l’Iran à “remédier d’urgence au non-respect” des engagements pris en vertu du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP). En l’état, l’AIEA, une instance onusienne, “n’est pas en mesure de garantir que le programme nucléaire iranien est exclusivement pacifique”.- “Mieux sans guerre” -Malgré cette escalade, le chef de la diplomatie omanaise, Badr Albusaidi, a confirmé la tenue dimanche à Mascate du 6e cycle de négociations irano-américaines.L’Union européenne a appelé l’Iran à “éviter toute mesure qui contribuerait à une escalade”. Et la France a dénoncé “la poursuite assumée de l’escalade nucléaire de l’Iran”.Washington et Téhéran, qui n’ont pas de relations diplomatiques depuis 1980, tentent depuis avril de s’entendre sur un accord après le retrait des Etats-Unis de l’accord de 2015, sous le premier mandat de Donald Trump, et le rétablissement des sanctions américaines.Dans un podcast du New York Post, enregistré lundi, M. Trump a dit être “beaucoup moins confiant (qu’auparavant) de parvenir à un accord” avec l’Iran. Le président américain, qui a plusieurs fois menacé de s’en prendre militairement à l’Iran en cas d’échec de la diplomatie, a toutefois dit que “ce serait mieux sans guerre”.Les Etats-Unis exigent que l’Iran renonce totalement à l’enrichissement d’uranium, ce que Téhéran refuse, affirmant en avoir le droit en vertu du TNP dont il est signataire.L’Iran a indiqué lundi qu’il soumettrait dans les prochains jours sa propre proposition aux Etats-Unis en vue d’un accord sur le nucléaire, après avoir critiqué un plan proposé par les Etats-Unis. On ignore le contenu des deux propositions.

Nucléaire: l’Iran défie les Etats-Unis avant des pourparlers prévus dimanche

L’Iran a annoncé coup sur coup jeudi la prochaine construction d’un nouveau site d’enrichissement et une augmentation “significative” de sa production d’uranium enrichi, exacerbant les tensions sur son programme nucléaire avant des pourparlers avec les Etats-Unis prévus dimanche.Dans le même temps, des médias américains, dont le New York Times et NBC News, ont rapporté qu’Israël, proche allié des Etats-Unis, semblait préparer une attaque imminente contre l’Iran, son ennemi juré.Les annonces iraniennes sont intervenues après l’adoption par le Conseil des gouverneurs de l’Agence internationale de l’énergie atomique (AIEA) d’une résolution condamnant l’Iran pour “non-respect” de ses obligations nucléaires.L’enrichissement d’uranium est la principale pierre d’achoppement dans les discussions irano-américaines, menées via une médiation d’Oman et visant à encadrer le programme nucléaire iranien en échange d’une levée des lourdes sanctions imposées à l’Iran. L’Iran est le seul Etat non doté d’armes nucléaires à enrichir de l’uranium au niveau élevé de 60%, selon l’AIEA. Pour fabriquer une bombe atomique, l’enrichissement doit être poussé jusqu’à 90%.Les Occidentaux et Israël, considéré par des experts comme la seule puissance nucléaire au Moyen-Orient, accusent l’Iran de chercher à se doter de l’arme atomique. Téhéran dément en défendant un droit au nucléaire à des fins civiles. “Les ordres nécessaires ont été donnés par le chef de l’Organisation iranienne de l’énergie atomique (OIEA) pour lancer un nouveau centre d’enrichissement dans un endroit sécurisé”, ont indiqué les Affaires étrangères iraniennes et l’OIEA.”Nous remplaçons toutes (les) machines de première génération par des machines avancées de sixième génération” à l’usine d’enrichissement de Fordo, au sud de Téhéran, a déclaré Behrouz Kamalvandi, porte-parole de l’OIEA. Cela signifie selon lui que la production “de matière enrichie augmentera de manière significative”.Plus tard, le chef de l’OIEA, Mohammad Eslami, a jugé “illégale” la résolution de l’AIEA, l’imputant à “l’influence” israélienne.M. Eslami a souligné que son pays avait respecté ses engagements envers l’AIEA, mais qu’il s’était affranchi de certaines obligations liées à l’accord nucléaire conclu avec les puissances mondiales en 2015, après le retrait unilatéral américain de ce pacte en 2018.”Ils ne peuvent pas s’attendre à ce que nous les respections sans qu’ils (les pays occidentaux) honorent leurs engagements”, a-t-il déclaré à la télévision d’Etat.Selon lui, l’enrichissement sur le nouveau site débutera “dès l’installation des machines”.L’accord de 2015 fixait la limite de l’enrichissement à 3,67%.- Menaces d’attaques -Israël a aussitôt appelé la communauté internationale à “une réponse décisive” contre l’Iran, dont les actes constituent selon lui “une menace imminente pour la sécurité et la stabilité”internationales.L’Etat israélien, qui considère le programme nucléaire iranien comme une menace existentielle, a maintes fois menacé d’attaquer les sites nucléaires iraniens.L’Iran a averti qu’il répondrait à toute frappe israélienne en ciblant les “installations nucléaires secrètes” d’Israël.Mercredi, il a aussi menacé de frapper les bases militaires américaines au Moyen-Orient en cas de conflit consécutif à un éventuel échec des négociations avec Washington.Dans la foulée, un responsable américain a déclaré que les effectifs de l’ambassade des Etats-Unis à Bagdad avaient été réduits pour raisons de sécurité. Et les Etats-Unis ont décidé de restreindre les déplacements en Israël des employés du gouvernement américain et de leurs familles.A Vienne, la résolution adoptée par l’AIEA appelle l’Iran à “remédier d’urgence au non-respect” des engagements pris en vertu du Traité de non-prolifération nucléaire (TNP). En l’état, l’AIEA, une instance onusienne, “n’est pas en mesure de garantir que le programme nucléaire iranien est exclusivement pacifique”.- “Mieux sans guerre” -Malgré cette escalade, le chef de la diplomatie omanaise, Badr Albusaidi, a confirmé la tenue dimanche à Mascate du 6e cycle de négociations irano-américaines.L’Union européenne a appelé l’Iran à “éviter toute mesure qui contribuerait à une escalade”. Et la France a dénoncé “la poursuite assumée de l’escalade nucléaire de l’Iran”.Washington et Téhéran, qui n’ont pas de relations diplomatiques depuis 1980, tentent depuis avril de s’entendre sur un accord après le retrait des Etats-Unis de l’accord de 2015, sous le premier mandat de Donald Trump, et le rétablissement des sanctions américaines.Dans un podcast du New York Post, enregistré lundi, M. Trump a dit être “beaucoup moins confiant (qu’auparavant) de parvenir à un accord” avec l’Iran. Le président américain, qui a plusieurs fois menacé de s’en prendre militairement à l’Iran en cas d’échec de la diplomatie, a toutefois dit que “ce serait mieux sans guerre”.Les Etats-Unis exigent que l’Iran renonce totalement à l’enrichissement d’uranium, ce que Téhéran refuse, affirmant en avoir le droit en vertu du TNP dont il est signataire.L’Iran a indiqué lundi qu’il soumettrait dans les prochains jours sa propre proposition aux Etats-Unis en vue d’un accord sur le nucléaire, après avoir critiqué un plan proposé par les Etats-Unis. On ignore le contenu des deux propositions.

Trump hails troop deployment as California readies legal battle

US President Donald Trump said Thursday that Los Angeles was “safe and sound” for the past two nights, crediting his deployment of thousands of troops to quell anti-deportation protests, as California prepared for a legal showdown over his unprecedented move.With protests spreading across the United States, a night-time curfew has been in place in its second-largest city with authorities tackling vandalism and looting that scarred a few city blocks.”Our great National Guard, with a little help from the Marines, put the L.A. Police in a position to effectively do their job,” Trump said on Truth Social, adding that without the military the city “would be a crime scene like we haven’t seen in years.”The mostly peaceful protests ignited last week over an escalation in efforts to apprehend migrants in the country illegally, but there were also pockets of violence, including the burning of self-driving taxis and hurling stones at police.Trump deployed several thousand National Guard troops and 700 active-duty marines over the objections of Democratic California governor Gavin Newsom, the first such action by a US president in decades.Trump charged that the governor “had totally lost control of the situation.””He should be saying THANK YOU for saving his ass, instead of trying to justify his mistakes and incompetence,” Trump added.In Spokane, in the northwest state of Washington, another night curfew was declared after police arrested more than 30 protesters and fired pepper balls to disperse crowds, officials said.In Seattle, Washington state’s biggest city, police arrested eight people after a dumpster was set on fire and projectiles were thrown. Three people were arrested in Tucson, Arizona, following clashes with police, the Arizona Republic reported.Protests also took place in Las Vegas, Dallas, Austin, San Antonio, Milwaukee, Chicago, Atlanta, and Boston, according to CNN.- ‘Democracy is under assault’ – Trump won the election last year partly on promises to combat what he claims is an “invasion” by undocumented migrants.”If I wasn’t there… Los Angeles would have been burning to the ground,” he told reporters WednesdayAround 1,000 of the 4,700 troops Trump deployed were actively guarding facilities and working alongside ICE agents, said Scott Sherman, Deputy Commanding General Army North, who is leading operations.The rest — including 700 active duty Marines — were mustering or undergoing training to deal with civil disturbances, he said.The Pentagon has said the deployment will cost taxpayers $134 million.Newsom, a Democrat widely viewed as eying a 2028 presidential run, has accused Trump of escalating the confrontation for political gain.He warned earlier this week that the militarization would creep beyond his state’s borders, saying “democracy is under assault right before our eyes.”Lawyers for California were expected in court on Thursday to seek an order blocking troops from accompanying immigration officers as they arrest migrants.Trump administration lawyers called the application a “crass political stunt.”- Military parade -A nationwide “No Kings” movement was expected on Saturday, when Trump will attend a highly unusual military parade in the US capital.The parade, featuring warplanes and tanks, has been organized to celebrate the 250th anniversary of the founding of the US Army but also happens to be the day of Trump’s 79th birthday.The Trump administration is painting the wave of protests as a violent threat to the nation, requiring military force to support regular immigration agents and police.But Los Angeles Mayor Karen Bass said the crisis had been manufactured in Washington.”A week ago, everything was peaceful in the city of Los Angeles,” she told reporters.”Things began to be difficult on Friday when raids took place… that is the cause of the problems.”This was provoked by the White House.”Arrests by masked and armed men continued Wednesday.A pastor in the LA suburb of Downey said five armed men driving out-of-state cars grabbed a Spanish-speaking man in the church’s parking lot.When she challenged the men and asked for their badge numbers and names, they refused.”They did point their rifle at me and said, ‘You need to get back,'” Lopez told broadcaster KTLA.

London-bound plane with 242 on board crashes into doctors’ housing in India

A London-bound passenger plane crashed in the Indian city of Ahmedabad on Thursday and all 242 people on board were believed killed, with the jet smashing into buildings housing doctors and their families.An AFP journalist saw people recovering bodies and firefighters trying to douse the smouldering wreckage after the Boeing 787-8 Dreamliner hit buildings during lunchtime.”The tragedy in Ahmedabad has stunned and saddened us. It is heartbreaking beyond words,” Prime Minister Narendra Modi said after Air India’s flight 171 crashed after takeoff.City police commissioner GS Malik told AFP there “appears to be no survivor in the crash”. Rescue teams supported by the military had “found 204 bodies”, he said, with people aboard the plane and those on the ground among the dead.The AFP journalist saw a section of the plane lying on the ground and a building ablaze, with thick black smoke billowing into the air.”One half of the plane crashed into the residential building where doctors lived with their families,” said Krishna, a doctor who did not give his full name.”The nose and front wheel landed on the canteen building where students were having lunch,” he said.Krishna said he saw “about 15 to 20 burnt bodies”, while he and his colleagues rescued around 15 students.India’s civil aviation authority said there were 242 people aboard, including two pilots and 10 cabin crew. Air India said there were 169 Indian passengers, 53 British, seven Portuguese, and a Canadian on board the flight bound for London Gatwick.UK Prime Minister Keir Starmer said the scenes from the crash were “devastating”, while the country’s King Charles III said he was “desperately shocked”.- ‘Devastating’ -The plane issued a mayday call and “crashed immediately after takeoff” outside the airport perimeter, the Directorate General of Civil Aviation said.Ahmedabad, the main city of India’s Gujarat state, is home to around eight million people and the busy airport is surrounded by densely packed residential areas.”When we reached the spot there were several bodies lying around and firefighters were dousing the flames,” resident Poonam Patni told AFP.”Many of the bodies were burned,” she said.The AFP journalist saw medics using a cart to load bodies into an ambulance, while a charred metal bed frame stood surrounded by burnt wreckage.A photograph published by India’s Central Industrial Security Force, a national security agency, showed the tail of the plane jutting from a building.The plane came down in an area between a hospital and the city’s Ghoda Camp neighbourhood.The airport was shut, with all flights “suspended until further notice”, its operator said.US planemaker Boeing said it was in touch with Air India and stood “ready to support them” over the incident, which a source close to the case said was the first crash for a 787 Dreamliner.Air India ordered 100 more Airbus planes last year after a giant contract in 2023 for 470 aircraft — 250 Airbus and 220 Boeing. The airline’s chairman, Natarajan Chandrasekaran, said an emergency centre had been set up with a support team for families seeking information.”Our thoughts and deepest condolences are with the families and loved ones of all those affected by this devastating event,” he said.India has suffered a series of fatal air crashes, including a 1996 disaster when two jets collided mid-air over New Delhi, killing nearly 350 people.In 2010, an Air India Express jet crashed and burst into flames at Mangalore airport in southwest India, killing 158 of the 166 passengers and crew on board.India’s airline industry has boomed in recent years with Willie Walsh, director general of the International Air Transport Association (IATA), last month calling it “nothing short of phenomenal”.The growth of its economy has made India and its 1.4 billion people the world’s fourth-largest air market — domestic and international — with IATA projecting it will become the third biggest within the decade.India’s domestic air passenger traffic reached a milestone last year by “surpassing 500,000 passengers in a single day”, according to India’s Ministry of Civil Aviation.

Surveillante tuée: vers la mise en examen du collégien, minute de silence dans les établissements

Le collège de Nogent (Haute-Marne), comme des établissements scolaires de toute la France, a observé jeudi midi une minute de silence en hommage à sa surveillante tuée mardi, tandis que l’adolescent auteur des coups de couteau doit être mis en examen.Le parquet a requis la mise en examen de ce collégien de 14 ans pour “meurtre d’une personne chargée de mission de service public” ainsi que pour “violences volontaires ayant entraîné une incapacité supérieure à huit jours” contre un gendarme blessé lors de son interpellation, a annoncé dans un communiqué le procureur de Dijon, Olivier Caracotch.Son placement en détention provisoire a également été requis.Du fait de sa minorité, le suspect encourt une peine de 20 ans de réclusion criminelle au lieu d’une peine de prison à perpétuité. Il est présenté jeudi à un juge d’instruction de Dijon à l’issue de deux jours de garde à vue.Le collège Françoise-Dolto de Nogent a rouvert ses portes jeudi matin, mais seules quelques dizaines d’élèves y sont retournés en matinée, a constaté l’AFP sur place.Ils y ont respecté à midi une minute de silence en mémoire de Mélanie, la surveillante de 31 ans poignardée, un hommage demandé par la ministre de l’Education Elisabeth Borne dans tous les établissements scolaires du pays.Thomas, 16 ans, un élève dans la classe de 3e du meurtrier, qui a assisté à la minute de silence de son collège, se souvient d’une surveillante “gentille et adorable”, “une belle personne”. Concernant l’auteur des faits, il parle d’un garçon “plutôt sympa” mais qui “des fois, (n’)avait pas le moral”.Ce temps de recueillement marque “l’expression collective de notre refus absolu de toute forme de violence et de notre détermination à soutenir ensemble, plus que jamais, notre école et ceux qui la font”, a déclaré jeudi Mme Borne.- “Désinhibition de la violence” -Le président de la République Emmanuel Macron a déploré jeudi en Conseil des ministres une “désinhibition de la violence (…) pour laquelle il va falloir évidemment apporter des solutions”, a rapporté la porte-parole du gouvernement Sophie Primas.”Face à la tristesse, à l’indignation, au choc que nous partageons, nous devons porter haut nos valeurs humanistes, notre fraternité, notre attention à chacune et chacun”, a écrit la proviseure d’un lycée parisien dans un message destiné à l’ensemble de sa communauté scolaire consulté par l’AFP.”On voit l’état psychologique de nos élèves se dégrader d’année en année”, alerte Chloé Juvin, 27 ans, surveillante dans un collège de Rennes. “On est multi-casquette, on fait un peu l’infirmière, un peu le psy, en fait on est la première ligne qu’ils trouvent”, souligne une de ses collègues, Clémentine Bidaud, 29 ans.Pendant sa garde à vue, le collégien de 14 ans a dit vouloir tuer une surveillante, “n’importe laquelle”, a rapporté mercredi le procureur de Chaumont Denis Devallois, dressant le portrait glaçant d’un adolescent “fasciné par la violence” et “en perte de repères”.Il avait été interpellé mardi juste après les faits, lors d’un contrôle inopiné des sacs des élèves par des gendarmes devant son établissement.- Besoin d’expertises -Le suspect ne présente “aucun signe évoquant un possible trouble mental”, avait aussi souligné M. Duvallois.Antoine Chateau, l’avocat de l’adolescent, a dit dans un communiqué transmis jeudi à l’AFP se dissocier “de certaines affirmations faites” par le procureur de Chaumont.Me Chateau dit avoir “pris note qu’il y aurait des expertises psychologiques et psychiatriques en cours de procédure”, et rappelle “qu’il est d’usage de faire procéder aux expertises au plus tôt de l’enquête”.Le drame de Nogent a eu un énorme retentissement dans les sphères éducatives et politiques.Au-delà de l’interdiction immédiate de la vente de couteaux aux mineurs, et “l’expérimentation” de portiques de sécurité voulue par le Premier ministre François Bayrou, le camp présidentiel et la gauche préviennent que la réponse est multiple et qu’il n’y a pas de “solution magique”. La droite, elle, insiste sur “la sanction”.Les proches de la victime ont annoncé une marche blanche au départ du collège de Nogent, vendredi à 18H00.bur-sl-ved-lv-kau-bj/etb/ale

Surveillante tuée: vers la mise en examen du collégien, minute de silence dans les établissements

Le collège de Nogent (Haute-Marne), comme des établissements scolaires de toute la France, a observé jeudi midi une minute de silence en hommage à sa surveillante tuée mardi, tandis que l’adolescent auteur des coups de couteau doit être mis en examen.Le parquet a requis la mise en examen de ce collégien de 14 ans pour “meurtre d’une personne chargée de mission de service public” ainsi que pour “violences volontaires ayant entraîné une incapacité supérieure à huit jours” contre un gendarme blessé lors de son interpellation, a annoncé dans un communiqué le procureur de Dijon, Olivier Caracotch.Son placement en détention provisoire a également été requis.Du fait de sa minorité, le suspect encourt une peine de 20 ans de réclusion criminelle au lieu d’une peine de prison à perpétuité. Il est présenté jeudi à un juge d’instruction de Dijon à l’issue de deux jours de garde à vue.Le collège Françoise-Dolto de Nogent a rouvert ses portes jeudi matin, mais seules quelques dizaines d’élèves y sont retournés en matinée, a constaté l’AFP sur place.Ils y ont respecté à midi une minute de silence en mémoire de Mélanie, la surveillante de 31 ans poignardée, un hommage demandé par la ministre de l’Education Elisabeth Borne dans tous les établissements scolaires du pays.Thomas, 16 ans, un élève dans la classe de 3e du meurtrier, qui a assisté à la minute de silence de son collège, se souvient d’une surveillante “gentille et adorable”, “une belle personne”. Concernant l’auteur des faits, il parle d’un garçon “plutôt sympa” mais qui “des fois, (n’)avait pas le moral”.Ce temps de recueillement marque “l’expression collective de notre refus absolu de toute forme de violence et de notre détermination à soutenir ensemble, plus que jamais, notre école et ceux qui la font”, a déclaré jeudi Mme Borne.- “Désinhibition de la violence” -Le président de la République Emmanuel Macron a déploré jeudi en Conseil des ministres une “désinhibition de la violence (…) pour laquelle il va falloir évidemment apporter des solutions”, a rapporté la porte-parole du gouvernement Sophie Primas.”Face à la tristesse, à l’indignation, au choc que nous partageons, nous devons porter haut nos valeurs humanistes, notre fraternité, notre attention à chacune et chacun”, a écrit la proviseure d’un lycée parisien dans un message destiné à l’ensemble de sa communauté scolaire consulté par l’AFP.”On voit l’état psychologique de nos élèves se dégrader d’année en année”, alerte Chloé Juvin, 27 ans, surveillante dans un collège de Rennes. “On est multi-casquette, on fait un peu l’infirmière, un peu le psy, en fait on est la première ligne qu’ils trouvent”, souligne une de ses collègues, Clémentine Bidaud, 29 ans.Pendant sa garde à vue, le collégien de 14 ans a dit vouloir tuer une surveillante, “n’importe laquelle”, a rapporté mercredi le procureur de Chaumont Denis Devallois, dressant le portrait glaçant d’un adolescent “fasciné par la violence” et “en perte de repères”.Il avait été interpellé mardi juste après les faits, lors d’un contrôle inopiné des sacs des élèves par des gendarmes devant son établissement.- Besoin d’expertises -Le suspect ne présente “aucun signe évoquant un possible trouble mental”, avait aussi souligné M. Duvallois.Antoine Chateau, l’avocat de l’adolescent, a dit dans un communiqué transmis jeudi à l’AFP se dissocier “de certaines affirmations faites” par le procureur de Chaumont.Me Chateau dit avoir “pris note qu’il y aurait des expertises psychologiques et psychiatriques en cours de procédure”, et rappelle “qu’il est d’usage de faire procéder aux expertises au plus tôt de l’enquête”.Le drame de Nogent a eu un énorme retentissement dans les sphères éducatives et politiques.Au-delà de l’interdiction immédiate de la vente de couteaux aux mineurs, et “l’expérimentation” de portiques de sécurité voulue par le Premier ministre François Bayrou, le camp présidentiel et la gauche préviennent que la réponse est multiple et qu’il n’y a pas de “solution magique”. La droite, elle, insiste sur “la sanction”.Les proches de la victime ont annoncé une marche blanche au départ du collège de Nogent, vendredi à 18H00.bur-sl-ved-lv-kau-bj/etb/ale

Hundreds of civilians were tortured by Wagner mercenaries in Mali: reportThu, 12 Jun 2025 13:12:26 GMT

In its more than three years in Mali, the Russian paramilitary group Wagner kidnapped, detained and tortured hundreds of civilians, including at former UN bases and camps shared with the country’s army, according to a report published Thursday by a journalist collective.The victims, who were interviewed by a consortium of reporters led by investigative outlet …

Hundreds of civilians were tortured by Wagner mercenaries in Mali: reportThu, 12 Jun 2025 13:12:26 GMT Read More »