Mauritanian elected as Africa’s new ‘super banker’Thu, 29 May 2025 15:19:13 GMT

Mauritania’s former economy minister Sidi Ould Tah was on Thursday elected to succeed Nigeria’s Akinwumi Adesina as president of the African Development Bank (AfDB) and tackle the withdrawal of US financing from the institution.In 2015 Adesina took six rounds of voting to become Africa’s “super banker”, but Tah, 60, secured the prestigious post in only …

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Boeing CEO confident US will clear higher MAX output in 2025

Boeing is eyeing approvals for significantly higher production of the 737 MAX in 2025 after US authorities allowed increased output on the 787 plane, the company’s CEO said Thursday.Boeing CEO Kelly Ortberg said the company could win US approval to raise MAX output at mid-year and again at the end of 2025. The faster than expected timeframe boosted shares.The Federal Aviation Administration in the last month green-lighted Boeing to produce seven 787 Dreamliner planes per month, up from five, Ortberg said at a financial conference.The FAA review is “the same process we’re going to use for the 737 MAX increase,” Ortberg said. “So I feel pretty good, and we talked with the FAA extensively to make sure we’re aligned.”The FAA has currently capped Boeing’s MAX production at 38 per month. The agency began more closely monitoring Boeing’s production processes following a January 2024 incident on an Alaska Airlines plane in which a window panel blew out mid-flight.The Alaska Airlines incident was the most significant involving a MAX plane since two fatal crashes in 2018 and 2019 spawned numerous lawsuits and government probes.Ortberg was recruited to Boeing last August following a leadership shakeup. Boosting plane output is essential to returning Boeing to profitability after a series of losses. Ortberg is targeting a mid-year FAA approval to 42 per month for the MAX in light of improved production processes. That could set the stage for an FAA approval to 47 per month around the end of 2025, although the company would not begin producing that many planes in 2025, he said.”Having said that, if we’re not ready we won’t do it,” Ortberg said. “Key performance indicators have to be there for us to move to the next rate. And you don’t know where you are until you move there, so we’ll see how things progress.”Ortberg also said Boeing was on track to complete FAA certification on the 777X and of new versions of the 737 MAX. On tariffs, Ortberg reiterated that the company’s bigger worry surrounds potential retaliation from trading partners rather than the impact of the levies on manufacturing supplies.He said China had reversed a ban on airlines accepting Boeing planes following the deescalation of the trade war between Washington and Beijing.”The first deliveries will be next month,” Ortberg said of Chinese carriers.Shares of Boeing jumped 4.4 percent in morning trading.

Le Mauritanien Sidi Ould Tah, élu nouveau super banquier de l’Afrique

L’ancien ministre mauritanien de l’Economie, Sidi Ould Tah, a été élu jeudi président de la Banque africaine de développement (BAD) et va succéder au Nigérian Akinwumi Adesina à la tête de cette institution qui doit faire face au désengagement financier des Etats-Unis. Il n’aura fallu que trois tours de scrutin pour que M. Tah l’emporte, avec 76,18% des voix, devançant largement son rival zambien Samuel Munzele Maimbo qui a recueilli 20,26%. Le Sénégalais Amadou Hott termine troisième avec 3,55% des voix. Fondée en 1964, la BAD qui compte 81 pays membres, dont 54 africains, est l’une des grandes banques multilatérales de développement.Ses ressources proviennent notamment des souscriptions des pays membres, des emprunts effectués sur les marchés internationaux ainsi que des remboursements et revenus des prêts.Pour remporter l’élection qui se déroulait à Abidjan, siège de l’institution, il fallait obtenir une double majorité: celle des votes de tous les pays membres mais aussi celle des pays africains. Et sur ce terrain, M. Tah a obtenu un score fleuve avec 72,37% des suffrages africains. “Je voudrais d’abord remercier l’Afrique pour la confiance. Je vous remercie pour cette confiance dont je mesure la responsabilité et le devoir qui l’accompagne”, a déclaré M. Tah, à l’issue de son élection. “Je veux féliciter le Dr Sidi Ould Tah pour son élection réussie (…) je suis entré dans cette course mû par l’amour pour notre continent et pour offrir une vision pour le futur de l’Afrique. Aujourd’hui les gouverneurs ont choisi le leader qui, selon eux, va donner la vision de l’Afrique que nous voulons à ce moment décisif”, a déclaré M. Maimbo dans un communiqué transmis à l’AFP.   Car le nouveau président de l’institution va être immédiatement confronté à un environnement économique international chamboulé, notamment par les annonces de l’administration Trump.Outre les droits de douane, certaines décisions affectent directement la BAD puisque les Etats-Unis veulent supprimer leur contribution d’un demi-milliard de dollars au fonds de la banque, destiné aux pays à faible revenu du continent.Cinq candidats étaient en lice pour l’élection de jeudi, dans la capitale économique ivoirienne où se trouve le siège de l’institution.- Prestigieux poste – Au fil des tours de vote, M. Tah a rallié les voix de nombreux pays, dans ce scrutin où le poids de chaque Etat actionnaire est pondéré par la hauteur de sa participation au capital de la banque.Les cinq plus gros contributeurs africains: le Nigeria, l’Egypte, l’Algérie, l’Afrique du Sud et le Maroc, étaient particulièrement courtisés, tout comme les Etats-Unis et le Japon, plus gros contributeurs non-régionaux. A la tête de ce prestigieux poste d’une institution qui s’est imposée au niveau international, M. Tah devrait mettre à profit ses dix années à la tête d’une autre institution multilatérale, la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (Badea).Il devrait toutefois rester dans la continuité des “High 5”, les cinq priorités établies par le président sortant: éclairer, nourrir, industrialiser, intégrer et améliorer la qualité de vie des populations. “Je suis fier de l’héritage que je laisse derrière moi. Nous avons construit une institution financière de classe mondiale qui va continuer à faire progresser la position de l’Afrique dans un environnement mondial qui évolue rapidement”, a déclaré M. Adesina, mardi, précisant que 565 millions de personnes en Afrique ont bénéficié de projets de la BAD ces dix dernières années.La banque a, par exemple, aidé à la construction de la plus grande station d’épuration d’Afrique, à Gabal el Asfar en Egypte, contribué à la réalisation d’un pont entre Sénégal et Gambie, à l’extension du port de Lomé au Togo, ou encore à des projets d’assainissement au Lesotho et d’accès à l’électricité au Kenya.Pendant les dix ans de gouvernance de l’homme au nÅ“ud papillon, le capital souscrit de l’institution a par ailleurs triplé, passant de 93 à 318 milliards de dollars.

Le Mauritanien Sidi Ould Tah, élu nouveau super banquier de l’Afrique

L’ancien ministre mauritanien de l’Economie, Sidi Ould Tah, a été élu jeudi président de la Banque africaine de développement (BAD) et va succéder au Nigérian Akinwumi Adesina à la tête de cette institution qui doit faire face au désengagement financier des Etats-Unis. Il n’aura fallu que trois tours de scrutin pour que M. Tah l’emporte, avec 76,18% des voix, devançant largement son rival zambien Samuel Munzele Maimbo qui a recueilli 20,26%. Le Sénégalais Amadou Hott termine troisième avec 3,55% des voix. Fondée en 1964, la BAD qui compte 81 pays membres, dont 54 africains, est l’une des grandes banques multilatérales de développement.Ses ressources proviennent notamment des souscriptions des pays membres, des emprunts effectués sur les marchés internationaux ainsi que des remboursements et revenus des prêts.Pour remporter l’élection qui se déroulait à Abidjan, siège de l’institution, il fallait obtenir une double majorité: celle des votes de tous les pays membres mais aussi celle des pays africains. Et sur ce terrain, M. Tah a obtenu un score fleuve avec 72,37% des suffrages africains. “Je voudrais d’abord remercier l’Afrique pour la confiance. Je vous remercie pour cette confiance dont je mesure la responsabilité et le devoir qui l’accompagne”, a déclaré M. Tah, à l’issue de son élection. “Je veux féliciter le Dr Sidi Ould Tah pour son élection réussie (…) je suis entré dans cette course mû par l’amour pour notre continent et pour offrir une vision pour le futur de l’Afrique. Aujourd’hui les gouverneurs ont choisi le leader qui, selon eux, va donner la vision de l’Afrique que nous voulons à ce moment décisif”, a déclaré M. Maimbo dans un communiqué transmis à l’AFP.   Car le nouveau président de l’institution va être immédiatement confronté à un environnement économique international chamboulé, notamment par les annonces de l’administration Trump.Outre les droits de douane, certaines décisions affectent directement la BAD puisque les Etats-Unis veulent supprimer leur contribution d’un demi-milliard de dollars au fonds de la banque, destiné aux pays à faible revenu du continent.Cinq candidats étaient en lice pour l’élection de jeudi, dans la capitale économique ivoirienne où se trouve le siège de l’institution.- Prestigieux poste – Au fil des tours de vote, M. Tah a rallié les voix de nombreux pays, dans ce scrutin où le poids de chaque Etat actionnaire est pondéré par la hauteur de sa participation au capital de la banque.Les cinq plus gros contributeurs africains: le Nigeria, l’Egypte, l’Algérie, l’Afrique du Sud et le Maroc, étaient particulièrement courtisés, tout comme les Etats-Unis et le Japon, plus gros contributeurs non-régionaux. A la tête de ce prestigieux poste d’une institution qui s’est imposée au niveau international, M. Tah devrait mettre à profit ses dix années à la tête d’une autre institution multilatérale, la Banque arabe pour le développement économique en Afrique (Badea).Il devrait toutefois rester dans la continuité des “High 5”, les cinq priorités établies par le président sortant: éclairer, nourrir, industrialiser, intégrer et améliorer la qualité de vie des populations. “Je suis fier de l’héritage que je laisse derrière moi. Nous avons construit une institution financière de classe mondiale qui va continuer à faire progresser la position de l’Afrique dans un environnement mondial qui évolue rapidement”, a déclaré M. Adesina, mardi, précisant que 565 millions de personnes en Afrique ont bénéficié de projets de la BAD ces dix dernières années.La banque a, par exemple, aidé à la construction de la plus grande station d’épuration d’Afrique, à Gabal el Asfar en Egypte, contribué à la réalisation d’un pont entre Sénégal et Gambie, à l’extension du port de Lomé au Togo, ou encore à des projets d’assainissement au Lesotho et d’accès à l’électricité au Kenya.Pendant les dix ans de gouvernance de l’homme au nÅ“ud papillon, le capital souscrit de l’institution a par ailleurs triplé, passant de 93 à 318 milliards de dollars.

Ex-leader Kabila back in DR Congo via M23-held cityThu, 29 May 2025 14:56:21 GMT

Ex-president Joseph Kabila was back in the Democratic Republic of Congo on Thursday via Goma, an eastern city seized by the Rwanda-backed M23 militia whose lightning offensive the government accuses him of orchestrating.Kabila’s appearance comes despite the former president facing the possibility of a treason trial over his alleged support for the M23, which has …

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Le Pen veut “participer” aux consultations avec Macron sur la Nouvelle-Calédonie

La cheffe de file de l’extrême droite Marine Le Pen, en visite en Nouvelle-Calédonie, a dit jeudi vouloir “participer” aux futures consultations sur l’avenir institutionnel de l’archipel, convoquées mi-juin par le président Emmanuel Macron après l’échec de récentes négociations.L’Elysée a annoncé mardi soir que le chef de l’Etat allait inviter “les parties prenantes de la Nouvelle-Calédonie” à Paris à partir de la mi-juin, pour tenter de trouver un accord entre indépendantistes et non-indépendantistes après l’échec début mai des négociations menées par le ministre des Outre-mer Manuel Valls. “Je crois que ce serait une bonne chose que je puisse participer effectivement à ces consultations”, a déclaré Marine Le Pen à la presse en marge d’une visite de l’usine de nickel SLN à Nouméa, arguant de son score de “40%” lors de l’élection présidentielle de 2022 en Nouvelle-Calédonie et du fait qu’elle était de nouveau “candidate” en 2027. “Par conséquent, demain je peux être amenée, si je suis élue, si les Français me font confiance, à avoir une part active dans les décisions qui pourraient être prises”, a soutenu Mme Le Pen, qui doit être jugée en appel au premier semestre 2026. Fin mars, elle a été condamnée en première instance à notamment cinq ans d’inéligibilité immédiate dans le dossier des assistants d’eurodéputés du Rassemblement national.  Interrogée sur la possibilité d’être accompagnée lors de ces discussions de Jordan Bardella, le président de la formation d’extrême droite qui ne cache pas ses ambitions présidentielles en cas d'”empêchement” de Marine Le Pen, cette dernière a cinglé: “Je ne suis pas sûre que Jordan pour le coup connaisse très bien les problèmes de la Nouvelle-Calédonie. On partage nos talents”.Marine Le Pen “est investie sur ce sujet depuis très logntemps, elle est aujourd’hui la mieux placée pour représenter notre mouvement dans ces consultations”, a réagi le président du RN sur BFMTV. “Mais, je vous rassure, je connais très bien les dossiers ultramarins et notamment le dossier de la Calédonie française”.La présidente du groupe RN à l’Assemblée nationale dit vouloir “de la modération” et représenter “une voie médiane” entre “une radicalité d’une partie des indépendantistes, mais aussi une radicalité d’une partie des loyalistes” en Nouvelle-Calédonie. “Je suis modeste, je ne dis pas que je vais régler le problème, je dis que je pense que je peux apporter ma pierre à l’édifice”, a encore souligné Marine Le Pen.  Elle a ensuite affirmé, avant une rencontre avec des chefs d’entreprises, qu’elle allait “écrire au président de la République dès (son) retour à Paris” en fin de semaine pour être à la table des discussions.

Pays-Bas: rappel de bonbons Haribo après une contamination au cannabis

Haribo a procédé jeudi au rappel des bonbons de sa marque “Happy Cola Fizz” aux Pays-Bas à la suite de la découverte de cannabis dans certains paquets et après que plusieurs personnes, dont des enfants, sont tombées malades. L’Autorité néerlandaise de sécurité alimentaire et des produits de consommation (NVWA) a précisé que seuls trois sachets de bonbons Haribo “Happy Cola Fizz” étaient concernés par la détection d’une telle contamination, mais qu’un rappel généralisé de la gamme avait été lancé par précaution.”Il y a des sachets en circulation qui pourraient contenir des bonbons susceptibles d’entraîner des problèmes de santé tels que des étourdissements, lorsqu’ils sont consommés”, a déclaré la NVWA dans un communiqué. “Du cannabis a été retrouvé dans les [bonbons en forme de] bouteilles de cola en question” a précisé la porte-parole du NVWA Saida Ahyad. La NVWA a été alertée par la police, après que plusieurs personnes – enfants et adultes – ayant mangé ce type de bonbons sont tombées malades.Mme Ahyad a indiqué que la police enquêtait désormais sur la manière dont le cannabis avait pu se retrouver dans les sachets de bonbons.”Après consultation avec la NVWA et comme il est d’usage dans ce type de situations, Haribo a émis un avertissement de sécurité “, a ajouté Mme Ayhad, exhortant à ne pas consommer ces bonbons.De son côté, Patrick Tax, vice-président marketing de la société allemande, a assuré que le rappel de produit concernait “un nombre limité de cas” et un seul type de produit dans l’est du pays. “La sécurité de nos consommateurs est notre priorité absolue et Haribo prend cet incident très au sérieux”, a-t-il affirmé dans un communiqué à l’AFP. “C’est une question en cours d’investigation et nous travaillons en étroite collaboration avec les autorités néerlandaises pour soutenir leur enquête et établir les faits ayant conduit à la contamination” , a-t-il ajouté.

Accord entre Amazon et le New York Times, dont les contenus vont être utilisés pour l’IA

Le New York Times a annoncé jeudi un accord avec Amazon qui autorise notamment le groupe technologique à utiliser les contenus du quotidien américain pour développer ses modèles d’intelligence artificielle (IA) générative.Ce partenariat intervient alors que le groupe de presse est engagé dans une procédure judiciaire civile contre OpenAI, créateur de ChatGPT, qu’il accuse d’avoir entraîné ses modèles d’IA générative avec ses articles sans permission préalable.Plusieurs groupes de médias se sont déjà entendus avec des grands acteurs de l’IA pour leur permettre d’alimenter leurs logiciels avec la production de leurs journalistes.News Corp (Wall Street Journal et Daily Telegraph entre autres), Le Monde, le Washington Post ou Axel Springer (Politico, Bild et Die Welt) l’ont fait avec OpenAI, Google avec Associated Press, tandis que Mistral s’est lié avec l’Agence France Presse.Il s’agit d’une rupture pour le New York Times, qui s’était jusqu’ici toujours refusé à laisser ses contenus nourrir l’IA générative.Dans la procédure contre OpenAI et Microsoft, le groupe conteste l’interprétation de la partie adverse, qui s’appuie sur la notion juridique d’utilisation équitable (fair use), susceptible de limiter l’application du droit de propriété intellectuelle.L’issue de ce dossier et de plusieurs autres relatifs au même sujet pourrait faire évoluer les relations entre éditeurs de presse et géants technologiques.Par ailleurs, l’accord dévoilé jeudi ouvre au New York Times la voie de l’univers Amazon et des appareils connectés, en particulier son assistant vocal d’IA Alexa+, un accès de plus en plus crucial aux consommateurs à mesure que l’intelligence artificielle générative se démocratise.La nouvelle a fait bondir le titre du New York Times, qui gagnait 1,85% vers 13H45 GMT à la Bourse de New York et se rapprochait de son plus haut historique, atteint début décembre.